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Les Vers de Terre glissent sur le Papier et apprennent à Ecrire

Jeudi 22 octobre 2009 à 12:12

"Mais l'impatience est une soif qu'aucune justification n'étanche"
L'évangile selon Pilate
E. E. Schmitt

Ce qu'il fallait savoir, dans ton carré de soie nimbé par l'éclat protecteur de l'espérance, c'est qu'il t'aurait fallut attendre encore un peu.
Juste un peu avant que le seuil ne soit franchi
Comme si le meilleur résultait de l'attente, d'un voeux pieux
Qu'échafaude ton esprit destructeur à l'envie
Et qui te fais penser, parfois, que la vie se passe, se tasse
Et que finalement, si une chose ne tarit pas, c'est le désir
Intense de vouloir et d'attendre, s'agiter
Comme si finalement, quelque chose en dépendait

Si ta vie était un temps, ce serait le conditionnel...


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Jeudi 15 octobre 2009 à 23:33

[...]

?

!


Mercredi 14 octobre 2009 à 12:01

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Et si je vois mal, qu'adviendra-t-il de moi ?
Et si je me trompais depuis le début ?
Si ce sont Eux qui ont raison ?

Aimer et Avoir Peur

Aimer Avoir Peur

Peur d'Aimer


Tant de choses et si peu de courage
Tout dans le désordre
Rêves dans la nuit
Matin ou comment avant d'avoir commencé, j'y ai mis un terme.
[Toute seule comme une GrAnDe]

" "Et on s'enfuit et on voudrait,
Rester en vie
Tout essayer" "

INDOCHINE

Mardi 6 octobre 2009 à 21:24

Parce que là je devrais être entrain de recopier au propre le cours d'histoire des faits économiques et sociaux.

Regardant Celle dans le miroir et mes paroles incohérentes
Celle qui comprenait qu'une bonne giclée de sang valait toujours mieux que Rien
Et qui faisait ce qu'elle avait à faire pour contenter cet Appétit de douleur
Comme les poissons aiment les Vers
Je suis Celle qui aime le Rouge de son corps
Mais qui ne voulait pas de Ses regards sur ses traits
Qui résonnent encore parfois lorsque je regarde ce Petit massacre
En longitude sur les bras nus
Mais ils ne devinent pas et c'est si bon de contempler
L'Apogée de cette autre chose
Qui n'en fut pas moins délicieuse
Quand enfin l'esprit se taisait et que la brûlure irradiait
Et je dis Vague quand je cherche pourquoi Celle qui me regarde
A commencé, puis arrêté
Ce petit Carnage organisé

Et je pêche lorsqu'enfin Elle se sent vivante 
C'est comme si je me regardais de l'extérieur
Et mes mains sont transparentes
Je ne peux pas rattraper mes erreurs
Ni ses bras pour lui dire de m'attendre
Aujourd'hui, Elle a sourit, même si elle sait faire
Et aujourd'hui, j'Espère.

(j'ai joué au jeu de la contemplation et j'ai perdu parce que je n'ai pas aimé ce que je voyais. Dans ce jeu ce qui est bon, c'est de regarder, pas de voir. On n'est pas là pour ça. L'analyse m'ennuie, alors j'imagine. Mais pas tout.)

"Et à ton réveil la vie reprend son train"

Jeudi 1er octobre 2009 à 12:59

Grimace universelle de l'Homme qui a mal à la tête
Pincement des lèvres
Et à chaque pas
Cette impression de bonds
De l'encéphale indiscipliné
Qui, aujourd'hui
A pris la lubie
De le torturer

Et l'Homme se sent déboulonné
Comme Louis XVI en cet instant
Il voudrait presque être guillotinné
Pour qu'enfin cesse
Ce retentissant
Cet insupportable
Mal de crâne !

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